Aventure à vivre, car un jour j’ai perdu ma mère et j’ai réalisé que je n’avais pas vraiment d’écrits et que le souvenir de sa voix s’effaçait doucement.
A vivre, car mon père m’a dit « ce qu’il s’est passé durant la guerre d’Algérie n’intéresse personne et s’oublie… »
Alors Florence est venue chez lui, de rencontres en entretiens, elle a saisi son histoire avec écoute, patience, curiosité et l’a restituée dans un livre.
Mais au-delà cette trace écrite, c’est la richesse des rencontres, l’intérêt porté à sa vie, son parcours qui font de cette expérience la force et la beauté.
Et c’est lors d’une cousinade qu’il s’est installé avec ses livres, a reçu chaque membre de sa famille pour une dédicace.
Pour chacun, un moment personnel, intime et mémorable avec son oncle, son arrière-grand-père, grand-père et père…
Aventure à vivre car ce sont les petites histoires qui font la grande,
L’histoire de nos parents qui fait la nôtre,
Et de cette histoire, il faut garder la trace.
H. C.